samedi 10 janvier 2015

Dextrose et polyphosphates à l'apéro.

Samedi 17h. L'heure de l'apéro. Oh! Un petit! Autant dire pas grand-chose.
Un petit verre de vin rouge d'Afrique du Sud, Un cabernet sauvignon de Cimerosa que j'achète chez Lidl: une vraie trouvaille. Et surtout, en plus de sa qualité, la possibilité de visser le bouchon en attendant de me resservir.
Un petit verre, peut-être deux, mais pas plus.
Pour l'accompagner, aujourd'hui, un rôti de dindonneau. Il m'a paru appétissant lors de l'achat. Ca l'est toujours tandis que je découpe de petits morceaux qui iront très bien avec mon vin.
Mais alors que je savoure ce moment de plaisir gentillet, je parcoure d'un oeil distrait la vignette collée au dos de ce rôti.
Je me rends compte en fait que si ce rôti est composé à 74% de volaille, les 26% restants, outre un peu d'eau, de sel et de sucre de glucose révèlent des composés chimiques de nature peu amène pour le commun des mortels pas très au fait des structures moléculaires des phosphates et autres érythorbate ou dextrose.
Pour moi qui ai quand même quelques rudiments de chimie, je ne comprends pas que l'on puisse trouver dans le meme aliment des diphosphates, des triphosphates et des polyphosphates. La raison et mes études sémantiques m'ont toujours enseigné que les deux premiers sont aussi des polyphosphates. Pourquoi alors spécifier? Peut-être parce qu'une directive européenne l'impose. Cela doit être la seule raison.
Je mange aussi du nitrate de sodium, en plus du chlorure de sodium qu'est le sel précité.
Le problème est que je trouve ça bon, plutot savoureux.
Et puis tant pis!
Il est dit que ce qui ne tue pas fortifie!
Et après tout diantre! Vivons dangereusement quoi!

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